15 de abril de 2014

Autores

Frisch, que acepta la definición de "pesimista existencial", visitó ayer por la mañana el Museo del Prado y se sintió impactado e identificado con las pinturas de Goya. (En El País, 1984)
Sus Diarios, que seguramente son un documento importante para el conocimiento de la historia y la cultura europea de la posguerra mundial, siguen sin traducirse en España. Pero la verdad, es que no sé: voici esta ficha de Gallimard:
Pas plus que le Journal 1946-1949, celui-ci, tenu par Max Frisch entre 1966-1971, n'est un «journal intime». Il s'agit plutôt d'une sorte de livre de bord. Non que la dimension autobiographique en soit absente : c'est bien l'individu Max Frisch, et non pas un chroniqueur neutre, qui relate ses rencontres avec Brecht, réagit à tel épisode de la répression politique en Suisse ou participe aux répétitions de l'une de ses pièces. 
Pour l'essentiel, toutefois, ce qui est consigné dans ces pages en est passé déjà par tout un travail de réflexion, de rêverie, d'écriture qui le place à grande distance de la spontanéité quotidienne. Le lecteur peut imaginer que c'est une rencontre, le hasard d'un moment, qui a motivé tel ou tel portrait, mais le portrait, se poursuivant, se charge de fiction, se change en récit. C'est, pour finir, une nouvelle.
Este texto sobre su novela  Homo faber---

Y si, caemos en la tentación de mirar en lo que hemos escrito, inducidos por la estadística de lecturas de los post, y se reemprende una modesta investigación. Cuatro años ha.

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